Le sentiment d'avoir pris la bonne décision, alors.
De se mettre en danger.
Ne pas renoncer, encore.
Tout donner, rien garder.
Et puis tombe une proposition en or plaqué.
On avait rien demandé.
Avoir cru bon d'y retourner.
De tordre le cou à la fatalité et un peu de vanité.
Se dire qu'on pouvait y arriver.
...
Rien ne va plus.
Les jeux sont faits.
On ne m'aura plus.
Se dire qu'on n'y peut rien...
S'en trop y croire.
Au final, c'est la mer à boire.
La coupe est pleine et notre faute entière.
C'était pas grand chose, enfin presque tout.
Tout à refaire.
A bout de bras.
Avec des bouts de ficelle.
La ritournelle.
Quoi.
En attendant Dieu en bleu* et Sébastien, encore mieux.
*My God is Blue de Sébastien Tellier, sortie prévue en mars 2012