Les heures tournent.
Et la force de rien, en pleine force de l'âge.
J'enrage. Merci Simone pour l'héritage.
Lister le moindre mouvement, la plus petite décision.
Remettre à demain des choses sans horizon.
La liberté a un prix, moi les clefs de la maison.
La responsabilité qui pèse sur mes épaules n'est pas convertible.
C'est la crise. Comment gérer la culpabilité des heures improductives passées ?
A l'heure du goûter, la question à mille dragmes ; ça compte un ciné ?
Il faudra rattraper, je le sais. Demain.
Pour le moment, j'y songe. Je me réserve pour le fin du fin.
Certains de penser que c'est facilité ; ça m'a traversée. D'autant que la morosité de cette rentrée ne fait rien pour aider.
J'aurais préféré le jet lag plutôt que cette escale.
J'ai la dalle, l'envie d'avoir envie et des nouvelles de Johnny dans les îles.
"Confiante ?... non, mais déterminée".
Anyway, Laurence m'a émue mais Fred m'a bouleversée.
Poupaud a beau jouer pur beurre, Clément balance la crème et ça fouette.
Je rêve de sa crinière rouge cramée et d'une brique rose à balancer.
Céline à l'unisson, "Tabernacle" en originale version,
et un domino en faille de camaïeu bleu et velours noir, pour sortir le soir (YSL for ever).
Cachée n'est pas jouer.
Après 2h40 de scènes clipées d'un amour plus que de raison,
on aura retenu la démonstration.
A noter, au passage, pour que ravage il y ait à la prochaine saison,
qu'il dépasse les lois de l'attraction,
Comptons sur plus que quelques ramages et autres publications qui ne sauraient être que de simples répétitions.
Sans y laisser ses plumes, et autres munitions.